mercredi, novembre 11, 2009

Violent débat présidentiel télévisé au Chili


Jorge Arrate le candidat de gauche lors du débat présidentiel télévisé
«Je n’entre pas dans ce concert d’aboiements et de morsures, car je pense que les questions d’ordre personnel n’ont ici aucune importance », déclara l’ancien ministre d’État et ex diplomate.
«Je pense que ce qu’il faut confronter ce sont des idées, et lors du débat il y a eu des moments où l’on a pu le faire ; c’est là quelque chose que j’ai appréciée », a conclu M. Arrate.