lundi, mai 04, 2020

LES DROITS HUMAINS NE SONT SOUMIS À AUCUNE CONDITION

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SERGIO MICCO, EST SA PHRASE FAISANT RÉFÉRENCE
 QU’« IL N’Y A PAS DE DROITS SANS DEVOIRS. » 

EXTRAIT DU QUOTIDIEN « EL MERCURIO» DU SAMEDI 2 MAI 2020
Les récentes déclarations du directeur de l’Institut national des droits humains (Instituto Nacional de Derechos Humanos INDH), Sergio Micco, ne contribuent pas à renforcer la défense des droits humains ni à garantir la pleine indépendance et autonomie de l’institution. Au contraire, ils entraînent l’INDH dans une dérive dangereuse qui renonce aux normes internationales en matière de défense et de promotion et qui a pour résultat de brouiller l’Institut lui-même en remettant en cause son travail fondamental.
EXTRAIT DU QUOTIDIEN
« EL MERCURIO » 
DU SAMEDI 2 MAI 2020
Il est clair que l’INDH a longtemps été soumise à la pression des secteurs les plus conservateurs de la société et de ceux qui relativisent les droits humains afin de réduire leur impact. Les déclarations de son directeur vont dans le même sens et ont mis l’INDH, une fois de plus, dans des positions complexes, affaiblissant son accomplissement. Ce que nous considérons comme extrêmement grave dans les circonstances actuelles, alors qu’il nous faut une institution nationale qui défende et promeuve l’ensemble des droits individuels, sociaux, économiques et culturels mais qu’ils ne sont pas garantis par l’ordre social actuel.