vendredi, avril 25, 2008
L'ATELIER D'ART SACRÉ DE GEORGES FARIAS
samedi, avril 19, 2008
De nombreux troubles auditifs au Chili
vendredi, avril 18, 2008
FEMME, TU NE FORNIQUERAS POINT
Cette décision ramène le Chili au même niveau que l’Iran, l’Ouganda, le Costa Rica, les Philippines ou l’Equateur, où le contraceptif d’urgence est également interdit. A ceci près qu’au Chili l’interdiction ne concerne que la distribution dans le secteur public: la pilule restera en vente dans les pharmacies pour celles qui auront les moyens de la payer.
Pour s’assurer des soutiens dans sa croisade, Kast a commencé par faire du lobbying dans les couloirs du Congrès. Au début, des membres de son parti et de Rénovation nationale (RN, droite libérale) ont été séduits par son projet [de déposer un recours contre le décret du gouvernement]. Mais certains ont eu tôt fait de découvrir que l’objectif était aussi de faire interdire la distribution du stérilet, utilisé par 42,8 % des Chiliennes.
Par ailleurs, il s’agissait de déclarer anticonstitutionnel le lévonorgestrel, un composant présent dans près de 40 % des contraceptifs vendus au Chili. La décision du tribunal est en cours de rédaction et n’entrera en vigueur que le 22 avril. Mais déjà certains députés se plaignent de n’avoir eu connaissance que par la presse de la totalité du contenu de la requête qu’ils ont signée. “Je ne savais pas qu’il était aussi question du stérilet”, commente un député de Rénovation nationale, qui se demande aujourd’hui comment obtenir l’annulation de cette décision. “J’ai l’impression d’avoir aussi été un peu grugé sur la question de la pilule, car mon intention n’était pas de la faire interdire à toutes les femmes, mais seulement aux jeunes filles de moins de 18 ans.
Le recours faisait 50 pages, j’ai beaucoup de choses à faire et je ne l’ai pas lu en entier, alors j’ai fait confiance à ce que me disaient mes camarades du parti.”
Mais il est maintenant impossible de revenir en arrière et tous les députés signataires sont responsables du cours qu’ont pris les politiques de la natalité au Chili. Aucune juridiction ne permet de faire appel de cette décision. La seule possibilité est que le gouvernement propose un nouveau dispositif, qu’il soit débattu et que le tribunal statue de nouveau.
Ramiro Molina, directeur du Centre de médecine reproductive et intégrale de l’adolescent (CEMERA), affirme que la décision du tribunal, adoptée à 5 voix contre 4, est très discriminatoire. “Les trois cinquièmes les plus pauvres de la population ne peuvent pas avoir accès au secteur privé, souligne-t-il. Ce sont 1,9 million de femmes qui vont être interdites de contraception.” En termes de ségrégation géographique, le porte-parole du gouvernement, Francisco Vidal, résume la situation en ces termes : “Celles qui en ont les moyens pourront se procurer la pilule dans une pharmacie de La Dehesa [quartier huppé de Santiago]. Mais sans argent, pas de pilule.” Et ce n’est pas tout. Les détracteurs de la décision assurent que si l’on interdit les comprimés qui contiennent du lévonorgestrel, qui sont meilleur marché, cela incitera moins de femmes à acheter des contraceptifs. Ce qui favorisera les avortements clandestins, particulièrement meurtriers. La Démocratie chrétienne [DC] n’a pas voulu se prononcer sur la décision du tribunal alors même que c’est un démocrate-chrétien qui a fait pencher la balance du vote.
Mario Fernández, l’ancien ministre de la Défense de Ricardo Lagos et actuel membre du Tribunal constitutionnel, a voté en conscience, assure-t-on, sans céder à aucune pression extérieure, mais certains espéraient qu’il voterait en faveur de la politique du gouvernement. Il n’en a pas été ainsi. D’aucuns estiment que la position de la DC s’explique par sa proximité avec l’Eglise catholique, dont les pressions ont été dénoncées par les centaines de manifestants qui ont protesté jeudi 3 avril. “Eloignez vos rosaires de nos ovaires !” pouvait-on lire sur des pancartes qui promettent de se multiplier dans les semaines qui viennent.
Des membres éminents de l’Eglise catholique ont influé sur la décision finale du Tribunal constitutionnel. “Ce n’est pas un hasard si Fernando Chomalí lui-même [membre de la commission de bioéthique de la Conférence épiscopale] a participé à l’audience assis au premier rang”, commente un avocat constitutionnaliste. Même si la décision du tribunal ne peut être révoquée en appel, certains pensent qu’elle risque d’avoir un effet boomerang sur le terrain politique.
La Bolivie, 007 et la mer perdue
jeudi, avril 17, 2008
Inauguration de l’une exposition Mapuche en Chine
La Présidente de la République, Michelle Bachelet, a participé au vernissage de l'échantillon "Mapuche: Semences du Chili" au Musée de la Capitale, Beijing, République populaire de Chine.
Des photographies, peintures, objets en céramique, en bois, et des ornements en argent - entre les autres - font partie de l'échantillon exposés dans le musée asiatique.
"Les principaux problèmes que les Araucans affrontent aujourd’hui continuent d'être la pauvreté et la difficulté de récupérer la terre que le Gouvernement leur a accordée et ultérieurement leur a exproprié", affirme le catalogue de l'exposition.
mercredi, avril 16, 2008
Quelle place pour la langue de Molière au Chili ?
Jean-Baptiste Poquelin, né à Paris en 1622-1673 dit Molière
La langue de Molière
mercredi, avril 09, 2008
TIBET / CHINE : LE POINT DE VUE DE JEAN-LUC MÉLENCHON
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LA CHINE AU XIXème SIÈCLE |
"Je ne suis pas d’accord avec le boycott des Jeux olympiques de Pékin et la propagande anti-chinoise". Le point de vue du sénateur de l'Essone, livré sur son blog.
LA REPRISE DE L’EXPANSION AU XXème SIÈCLE |
Je ne suis pas communiste chinois. Je ne le serai jamais. Mais je ne suis pas d’accord avec les manifestations en faveur du boycott des jeux olympiques. Je ne suis pas d’accord avec l’opération de Robert Menard contre les jeux olympique de Pékin. Je ne suis pas d’accord avec la réécriture de l’histoire de la Chine à laquelle toute cette opération donne lieu.
Je ne partage pas du tout l’enthousiasme béat pour le Dalaï-lama ni pour le régime qu’il incarne. Pour moi, le boycott des jeux est une agression injustifiée et insultante contre le peuple chinois. Si l’on voulait mettre en cause le régime de Pékin il fallait le faire au moment du choix de Pékin pour les jeux. Il ne fallait pas permettre à la Chine d’être candidate. Il fallait le dire en Chine. Ce qui se fait est une insulte gratuite et injustifiée contre les millions de chinois qui ont voulu et préparent activement les jeux. Pour moi il flotte un relent nauséabond de racisme sur cette marmite !
UN PRETEXTE
Si un boycott devait être organisé, dans une logique agressive conséquente, ce n’est pas celui du sport qui est un moment d’ouverture et de fraternisation. Pourquoi pas plutôt celui des affaires et de la finance ? Naturellement aucun des activistes mondains actuels ne le propose ni n’entreprend quoique ce soit dans ce sens. Si l’on devait vraiment se fâcher avec le gouvernement chinois, pourquoi le minimum de ce qui se fait dans les relations normales entre les nations ne se fait-il pas à cette occasion ? Le président de la République chinoise (combien de protestataires se soucient de savoir comment il s’appelle ?) a-t-il été approché ? Lui a -ton demandé quelque chose ? Quoi ? Qu’a-t-il répondu ? Le Premier ministre (combien se sont préoccupés de connaître son nom ?) a-t-il été interpellé ?
L’ambassadeur de Chine en France a-t-il été reçu et a-t-on eu un échange avec lui ? Qui s’en soucie ? Avec une morgue ressemblant à du racisme, on proteste contre un gouvernement dont on ne cite pas le nom des dirigeants, et dont on fait comme s’il n’existait pas ? Pourquoi sinon parce qu’on pense par de vers soi qu’il n’en est pas vraiment un. La superbe occidentale nie jusqu’au nom des gouvernants qui dirigent un peuple de un milliard quatre cent millions de personnes que l’on croit assez veules pour être maîtrisées par une simple police politique ! D’une façon générale je ressens, en voyant tout cela, l’écho du mépris des colons qui ont imposé en leur temps les armes à la main l’obligation pour les Chinois de faire le commerce de l’opium ! Si la volonté est d’affronter le régime politique de Pékin, aucun des moyens employés n’est de nature à modifier quoique ce soit d’autre que l’opinion occidentale déjà totalement formatée sur le sujet.
Donc les évènements du Tibet sont un prétexte. Un prétexte entièrement construit à l’usage d’un public conditionné par la répétition d’images qui visent à créer de l’évidence davantage que de la réflexion. Exemple : seule l’enquête « d’arrêt sur image » rapporte que les « évènements du Tibet » ont commencé par un pogrom de commerçants chinois par des « Tibétains ». Dans quel pays au monde de tels évènements restent-ils sans suite répressive ? La vie d’un commerçant chinois a-t-elle moins de valeur que celle du manifestant « tibétain » qui l’assassine à coups de bâton dans la rue ? Bien de l’amitié pour les Tibétains n’est qu’une variante nauséabonde du racisme contre les Chinois. Elle se nourrit de tous les fantasmes que l’ignorance favorise. Que la répression ait été lourde est peut-être avéré ? Comment l’apprécier ?
Les seuls chiffres rabâchés sont ceux du « gouvernement tibétain en exil ». Pourtant le gouvernement chinois, si j’ai bien entendu, annonce lui-même un nombre de blessés et de morts qui permet de comprendre qu’il y a eu une situation grave et sérieuse que les autorités admettent. Dans n’importe quelles circonstances on essaierait de comparer les informations. On essaierait de comprendre l’enchaînement des faits. Sinon autant dire que le gouvernement français de l’époque a ordonné de pousser deux jeunes dans un transformateur électrique à Clichy Sous Bois au motif qu’il avait alors une politique de main dure face aux banlieues. Personne n’oserait avancer une bêtise aussi infâme. Dans les émeutes urbaines américaines la répression a aussi la main lourde. Tout cela n’excuse rien. Mais cela permet de mettre des évènements en relation de comparaison.
UN PERSONNAGE SUSPECT
J’exprime les plus nettes réserve à propos de l’action politique de monsieur Robert Ménard, principal organisateur des manifestations anti-chinoises. A présent, à propos du Tibet et des Jeux Olympiques, on ne voit que Robert Ménard. Il parle, paraît-il, au nom de « Reporters sans frontière ». Cette association est réduite à la personne de Robert Ménard. Bien des anciens membres du conseil d’administration pourraient en dire long au sujet des conceptions démocratiques de monsieur Ménard dans sa propre association. Quand je me suis trouvé sur le plateau de radio à France-Culture où l’on m’interrogeait sur le sujet du Tibet et des jeux Olympiques, messieurs Marc Kravetz et Alexandre Adler sont restés silencieux quand j’en suis venu au rôle de monsieur Menard. Ils ne peuvent être soupçonnés de chercher à me complaire...
Hors micro, les deux, exprimaient des réserves marquées sur les méthodes du personnage de Robert Ménard. Maxime Vivas a établi une analyse documentée extrêmement inquiétante sur ce personnage et ses sources de financements. Quoiqu’il en soit, il semble qu’il remplace aussi dorénavant les syndicats de journalistes, l’association internationale des droits de l’homme, Amnesty et ainsi de suite. Parfois même il remplace le Dalaï-lama. Robert Menard milite pour le boycott des Jeux et ce que ne fait pas le Dalaï-lama. Celui-ci dit au contraire que le peuple chinois mérite les jeux. Robert Ménard est un défenseur des droits de l’homme à géométrie variable. A-t-il mené une seule action, même ultra symbolique, quand les Etats-Unis d’Amérique ont légalisé la torture ? A-t-il mené une seule action pour que les détenus de Guantanamo soient assistés d’avocat ? Robert Menard a un comportement qui soulève des questions sérieuses au sujet des motivations de son action.
LE REGIME THEOCRATIQUE EST INDEFENDABLE
À propos du Tibet. Le Tibet est chinois depuis le quatorzième siècle. Lhassa était sous autorité chinoise puis mandchoue avant que Besançon ou Dôle soient sous l’autorité des rois de France. Parler « d’invasion » en 1959 pour qualifier un évènement à l’intérieur de la révolution chinoise est aberrant. Dit-on que la France a « envahi » la Vendée quand les armées de notre République y sont entrées contre les insurgés royalistes du cru ? Le Dalaï-Lama et les autres seigneurs tibétains ont accepté tout ce que la Chine communiste leur proposait et offrait, comme par exemple le poste de vice-président de l’Assemblée Populaire que « sa sainteté » a occupé sans rechigner. Cela jusqu’au jour de 1956 où le régime communiste a décidé d’abolir le servage au Tibet et régions limitrophes.
Dans une négation des traditions, que j’approuve entièrement, les communistes ont abrogé les codes qui classaient la population en trois catégories et neuf classes dont le prix de la vie était précisé, codes qui donnaient aux propriétaires de serfs et d’esclaves le droit de vie, de mort et de tortures sur eux. On n’évoque pas le statut des femmes sous ce régime là. Mais il est possible de se renseigner si l’on a le cœur bien accroché. L’autorité communiste a mis fin aux luttes violentes entre chefs locaux du prétendu paradis de la non-violence ainsi qu’aux divers châtiments sanglants que les moines infligeaient à ceux qui contrevenaient aux règles religieuses dont ils étaient les gardiens.
La version tibétaine de la Charia a pris fin avec les communistes. La révolte de 1959 fut préparée, armée, entretenue et financée par les USA dans le cadre de la guerre froide. Voila ce qu’il en est des traditions charmantes du régime du Dalaï-Lama avant les communistes et l’horrible « invasion » qui y a mis fin. Depuis la scolarisation des enfants du Tibet concerne 81% d’entre eux là où il n’y en avait que 2% au temps bénis des traditions. Et l’espérance de vie dans l’enfer chinois contemporain prolonge la vie des esclaves de cette vallée de larmes de 35, 5 à 67 ans. En foi de quoi l’anéantissement des tibétains se manifeste par le doublement de la population tibétaine depuis 1959 faisant passer celle-ci de un million à deux millions et demi. Pour tout cela, la situation mérite mieux, davantage de circonspection, plus de respect pour les Chinois que les clichés ridicules que colportent des gens qui ne voudraient ni pour eux, ni pour leur compagne ni pour leurs enfants d’un régime aussi lamentable que celui du roi des moines bouddhistes du Tibet.
À l’heure actuelle je n’éprouve aucune sympathie pour « le gouvernement en exil du Tibet » dont sa sainteté est le décideur ultime sur pratiquement toutes les questions, où siège un nombre de membres de sa famille qu’il est tout à fait inhabituel de trouver dans un gouvernement, même en exil, sans parler de leur présence aux postes clefs de la finance et des affaires de cet exil. Je respecte le droit de sa sainteté de croire ce qu’elle veut et à ses partisans de même. Mais je m’accorde le droit d’être en désaccord total avec l’idée de leur régime théocratique. Je suis également hostile à l’embrigadement d’enfants dans les monastères. Je suis opposé à l’existence du servage. Je suis laïque partout et pour tous et donc totalement opposé à l’autorité politique des religieux, même de ceux que l’album "Tintin au Tibet" a rendus attendrissants et qui ne l’ont pourtant jamais été. Je désapprouve aussi les prises de position du "roi des moines" contre l’avortement et les homosexuels. Même non-violentes et entourées de sourires assez séducteurs, ses déclarations sur ces deux sujets sont à mes yeux aussi archaïques que son projet politique théocratique. Je n’ai jamais soutenu l’Ayatollah Khomeiny, même quand j’étais contre le Shah d’Iran. Je ne soutiens pas davantage ni n’encourage le Dalaï-Lama, ni dans sa religion qui ne me concerne pas, ni dans ses prétentions politiques que je désapprouve ni dans ses tentatives sécessionnistes que je condamne. Je demande : pourquoi pour exercer sa religion et la diriger, le Dalaï-Lama aurait-il besoin d’un Etat ? Un Etat qui pour être constitué demanderait d’amputer la Chine du quart de sa surface ! Son magistère moral et religieux actuel souffre-t-il de n’être assis sur aucune royauté ?
FAUTEUR DE GUERRE
En ce qui concerne le droit international et la géopolitique, le dossier du Tibet tel que présenté par ses partisans est un facteur de violences, de guerres et de déstabilisation aussi considérable que celui des Balkans. Quel genre de Tibet est défendu ? Le "grand Tibet" incluant des régions comme le Yunnan et le Sichuan, sur les territoires des anciens seigneurs de la terre où sont organisés des troubles en même temps qu’à Lhassa ? Bien sur, aucun de ceux qui s’agitent en ce moment ne se préoccupe de savoir de quoi il retourne à ce propos. Rien n’indique mieux le paternalisme néo-colonial ni le racisme sous-jacent à l’enthousiasme pro tibétain que l’indifférence à ces questions qui mettent en cause la vie de millions de personnes et des siècles d’histoire et de culture chinoise.
J’ai lu que les athlètes français porteraient un maillot avec une déclaration un peu passe-partout qui est présentée comme une protestation politique. Je sais très bien que l’inscription "pour un monde meilleur" ne mange pas plus de pain là-bas qu’ici. Mais elle sera certainement vécue par les Chinois du commun comme un acte injurieux si son motif pro Dalaï-lama est connu. Peut-être est-il cependant aussi un peu hors-limite des règles du sport international ? Souvenons-nous que la ligue européenne de natation a exclu des championnats d’Europe de natation le nageur serbe Milady Cavic parce qu’il portait lors des remises de médailles un tee-shirt sur lequel était écrit : "le Kosovo est serbe". Cela fera-t-il jurisprudence ? Les champions français qui porteront un slogan annoncé comme politique seront-ils interdits de jeux ? Bien sur que non !
Puisque le but c’est justement que le Tibet soit aux Chinois ce que le Kosovo a été aux Serbes. Mais comme cela n’a rien de comparable, à part la volonté de dépeçage de l’ennemi et la mise en scène médiatique, il est fort probable que cela finisse à la confusion des agresseurs. Je le souhaite.
Je suis un ami de la Chine. Et je sais que l’intérêt de mon pays et ses valeurs ne sont pas du côté où l’on voudrait les entraîner.
Le blog de Jean-Luc Mélenchon en cliquant ici- http://www.jean-luc-melenchon.fr
samedi, avril 05, 2008
La justice chilienne fait reculer les droits de la femme
Portrait de femme Diego Rivera
Le tribunal constitutionnel chilien a confirmé hier l'interdiction de distribuer la «pilule du lendemain» dans les centres de santé. Cette mesure avait été instaurée par le gouvernement de la présidente socialiste Michelle Bachelet. Lire la suite...
L'un des meilleurs affichistes mexicains arrive au Chili
Catalogué comme l'un des meilleurs affichistes de son pays. Alejandro Magallanes montrera pour la première fois son œuvre au Chili, le mercredi 9 avril, à 19:00 heure, à l'Auditoire Central de la Faculté d'Architecture, d'Art et Dessin de l'Université Diego Portales (Av. Republica 180, Santiago du Chili).
Daniel Craig en tournage au Chili veut incarner un James Bond plus intime
CERRO PARANAL (AFP) — "Je suis James Bond, je ne suis pas en train de lui ressembler", affirme l'acteur britannique Daniel Craig, qui incarne le célèbre agent secret 007 de "Quantum of solace" en tournage au Chili, et entend présenter une vision plus réaliste et intime du personnage. Lire la suite...