Le président de la confédération épiscopal, Monseigneur Alejandro Goic, a déclaré qu’après 110 jours de grève de la faim, Patricia Troncoso Robles a décidé de déposer sa grève de la faim, parce que gouvernement central a accédé à ses demandes.
Selon le religieux, les hautes autorités du gouvernement ont manifesté, cette après midi, leur disposition à concéder à Patricia Troncoso les bénéfices qu’elle réclame depuis plus de 110 jours. Selon TVN, la militante a obtenu les sorties dominicales sans évaluation préventive de la gendarmerie pour ses deux compagnons de détention et pour elle, et son transfert à Temuco pour sa récupération. Patricia Troncoso a rédigé une lettre, de sa propre main, dans laquelle elle sollicitait le retour à Angol avec ses deux compagnons et l’octroi des bénéfices pénitentiaires et dominicaux pour Juan Millalen et les sorties de fin de semaine pour elle et Jaime Marileo, que sa récupération puisse se réaliser dans l’hôpital de Temuco. A ces demandes le gouvernement a répondu « les bénéfices sollicités par Patricia Troncoso pour elle et pour les internes Juan Bautista Millalen et Florencio Jaime Marileo seront concédés en la forme et l’opportunité que décrit la sollicitude écrite par Patricia Troncoso et qu’elle nous a fait parvenir ce jour ».Les médecins doivent maintenant, et suite à l’arrêt de la grève de la faim, certifier la capacité physique de Patricia pour son transfert vers l’hôpital de Temuco. Ensuite, et durant les premiers jours du mois de mars, elle pourra commencer à profiter des bénéfices qu’elle exige depuis plus de trois mois et que le gouvernement a du lui concéder. Monseigneur Goic a déclaré « que son effort n’a pas été vain parce que le thème mapuche s’est installé dans la société chilienne. Ce n’est pas un thème facile à résoudre, mais l’église donne sa parole pour que nous puissions l’aborder comme société dans son ensemble ».
Selon le religieux, les hautes autorités du gouvernement ont manifesté, cette après midi, leur disposition à concéder à Patricia Troncoso les bénéfices qu’elle réclame depuis plus de 110 jours. Selon TVN, la militante a obtenu les sorties dominicales sans évaluation préventive de la gendarmerie pour ses deux compagnons de détention et pour elle, et son transfert à Temuco pour sa récupération. Patricia Troncoso a rédigé une lettre, de sa propre main, dans laquelle elle sollicitait le retour à Angol avec ses deux compagnons et l’octroi des bénéfices pénitentiaires et dominicaux pour Juan Millalen et les sorties de fin de semaine pour elle et Jaime Marileo, que sa récupération puisse se réaliser dans l’hôpital de Temuco. A ces demandes le gouvernement a répondu « les bénéfices sollicités par Patricia Troncoso pour elle et pour les internes Juan Bautista Millalen et Florencio Jaime Marileo seront concédés en la forme et l’opportunité que décrit la sollicitude écrite par Patricia Troncoso et qu’elle nous a fait parvenir ce jour ».Les médecins doivent maintenant, et suite à l’arrêt de la grève de la faim, certifier la capacité physique de Patricia pour son transfert vers l’hôpital de Temuco. Ensuite, et durant les premiers jours du mois de mars, elle pourra commencer à profiter des bénéfices qu’elle exige depuis plus de trois mois et que le gouvernement a du lui concéder. Monseigneur Goic a déclaré « que son effort n’a pas été vain parce que le thème mapuche s’est installé dans la société chilienne. Ce n’est pas un thème facile à résoudre, mais l’église donne sa parole pour que nous puissions l’aborder comme société dans son ensemble ».
Le gouvernement, de son côté, a nommé ce lundi Rodrigo Egaña Barahona, comme commissaire présidentiel pour les affaires indigènes. Le ministre de l’intérieur Edmundo Pérez Yoma a expliqué que parmi les tâches qui seront à sa charge il devra impulser le dialogue avec les communautés indigènes, évaluer et surveiller l’avance des politiques publiques dirigées vers les peuples indigènes et travailler avec le congrès pour en arriver à une reconnaissance constitutionnelle des peuples indigènes ».Egaña a expliqué que la présidente lui a demandé d’assumer ce labeur et que la manière de l’affronter est “ à partir d’un dialogue très large avec tous les acteurs. Je vais faire de mon mieux pour générer des espaces de conversation, nous allons réinstaller des tables rondes de travail dans les différentes régions du pays pour avancer sur ce thème, nous allons rechercher quels sont les thèmes de convergence dans notre pays, le respect mutuel, pour que les peuples originaires obtiennent la possibilité d’un plein développement ».
Sources http://www.nodo50.org et chilevision
Sources http://www.nodo50.org et chilevision