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Porfirio Lobo durant sa prise de possession, flanqué par le ministre de la défense, Adolfo Sevilla (derrière lui) le général putschiste Romeo Vásquez. Photo AP 28-01-2010
Un an après le coup d'État militaire qui a renversé le président Manuel "Mel" Zelaya, le Honduras reste divisé et isolé sur la scène internationale et les violations des droits de l'homme n'ont pas cessé. Malgré l'appui de Washington au président Porfirio "Pepe" Lobo, élu le 29 novembre lors d'une consultation marquée par une forte abstention, le Honduras n'a toujours pas retrouvé sa place au sein de l'Organisation des États américains.