Au départ, c'était presque « Germinal » de Zola : la misère des ouvriers, les conditions de travail déplorables, le XIXe siècle dans les mines... À la fin, c'est un happy end médiatico-technologique, digne du XXIe siècle et d'Hollywood.
La libération des mineurs chiliens à la mine San José, les 12 et 13 octobre, a été suivie en direct par plus d'un milliard de personnes – du même ordre que le 11 septembre 2001. Mais l'événement aura aussi eu pour effet de propulser au sommet la popularité d'un habile politicien, le président Sebastian Piñera.
Piñera, dont la maîtrise, tout au long de ce psychodrame, passera sans doute à l'histoire comme un chef-d'oeuvre de relations publiques et de communications.
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La libération des mineurs chiliens à la mine San José, les 12 et 13 octobre, a été suivie en direct par plus d'un milliard de personnes – du même ordre que le 11 septembre 2001. Mais l'événement aura aussi eu pour effet de propulser au sommet la popularité d'un habile politicien, le président Sebastian Piñera.
Piñera, dont la maîtrise, tout au long de ce psychodrame, passera sans doute à l'histoire comme un chef-d'oeuvre de relations publiques et de communications.
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