Dans «El Boton de nacar», Patricio Guzman évoque l’histoire du Chili, du génocide indien à la dictature. Un poème dédié à l’eau, une prière pour les disparus
Le désert d’Atacama, tout au nord du Chili,
Patricio Guzman le connaît bien. Il l’a arpenté dans Nostalgia de la luz en compagnie de femmes qui scrutent le sable à la recherche d’esquilles d’os, vestiges hypothétiques de leurs fils, de leurs maris assassinés par la junte de Pinochet, et auprès d’astronomes qui sondent le cosmos pour comprendre les mystères de la vie. Ô poussières d’étoile, ô jonction de l’homme fini et de l’infini…
Patricio Guzman le connaît bien. Il l’a arpenté dans Nostalgia de la luz en compagnie de femmes qui scrutent le sable à la recherche d’esquilles d’os, vestiges hypothétiques de leurs fils, de leurs maris assassinés par la junte de Pinochet, et auprès d’astronomes qui sondent le cosmos pour comprendre les mystères de la vie. Ô poussières d’étoile, ô jonction de l’homme fini et de l’infini…
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