vendredi, juillet 21, 2017

AU CHILI, UNE LOI DÉPÉNALISANT PARTIELLEMENT L’AVORTEMENT REPOUSSÉE PAR LES DÉPUTÉS


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LA PRÉSIDENTE DU CHILI, MICHELLE BACHELET,
À VERACRUZ (MEXIQUE), EN 2015.
PHOTO REBECCA BLACKWELL 

Le Sénat avait approuvé mercredi, en y apportant des amendements, un texte de loi autorisant l’IVG dans certains cas, mais les députés n’ont pas validé les modifications.

PHOTO AUFEMININ 
Les femmes chiliennes devront encore attendre avant de pouvoir avorter légalement et continueront à encourir des peines de trois à cinq ans de prison en cas d’interruption volontaire de grossesse (IVG) clandestine. Contre toute attente, l’adoption définitive d’un projet de loi visant à dépénaliser au Chili l’avortement thérapeutique et en cas de viol a été retardée, jeudi 20 juillet, au Parlement







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DESSIN


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