LOGO EL MOSTRADOR |
"Le don absolu. L'histoire de Sebastián Acevedo" / Film sur un homme qui s'est immolé par le feu sous la dictature de Pinochet (1973-1990) a remporté le 16ème Festival du cinéma chilien ( FECICH).
[ -ñ- Cliquez sur la flèche pour visionner la vidéo ]
il s'agit du film "Le don absolu. L'histoire de Sebastián Acevedo", réalisé par Josefina Morandé. L'homme a agi par désespoir devant la cathédrale de Concepción, après que ses deux enfants furent séquestrés par le CNI (la police politique chilienne pendant la dictature militaire). Le film a également remporté le prix du public, en même temps que le court métrage "Yaya".
► À lire aussi : COMMÉMORATION DE L'IMMOLATION DE SEBASTIÁN ACEVEDO
Après dix jours de projection de plus de 45 films à Quilpué et Villa Alemana, avec une participation massive, le 16ème Festival du cinéma chilien s'est achevé samedi 27 dernier au théâtre municipal Juan Bustos Ramírez, en présence de la mairesse Valeria Melipillán, de Mario Pulgar, représentant du ministère des Cultures, des Arts et du Patrimoine, des producteurs, des cinéastes et des invités à l'événement.
La cérémonie de remise des prix et de clôture était animée par la l'actrice María Gracia Omegna et l'acteur Gabriel Urzúa, qui ont annoncé les films gagnants du concours Radiographie National dans les catégories court métrage, long métrage et court métrage d'animation, choisis par le jury citoyen, le Jury de la 16ème édition du Festival du cinéma chilien, le jury de la presse et le jury des jeunes.
En outre, les projets gagnants du concours Cine Chileno en Construcción 2024, de la zone industrie du festival, ont été rendu publique.
Reconnaissant la qualité de tous les films en compétition, le Jury citoyen a décerné le Prix du cinéma chilien pour le meilleur long métrage FECICH 2024 au documentaire "Le don absolu. L'histoire de Sebastian Acevedo" de Josefina Morandé, qui raconte l'histoire de cet homme qui, âgé de 52 ans, en pleine dictature, mis à bout par la recherche de ses deux fils détenus par le CNI, décide de s'asperger le corps d'essence et de mettre le feu devant la cathédrale de la Santísima Concepción, où se trouve aujourd'hui une plaque commémorative à sa mémoire.