[ Cliquez sur l'image pour l'agrandir ]
|
UNE DE LA NACIÓN
ARGENTINE |
« Repudio », « rejet » en espagnol. C’est le terme que l’on voit le plus fleurir sur les comptes Twitter argentins, après la parution, lundi 23 novembre, d’un éditorial très polémique dans les colonnes du quotidien de droite La Nacion. Au lendemain de la victoire de Mauricio Macri, le candidat libéral, à l’élection présidentielle argentine, cet éditorial non signé et intitulé « No más venganza » («plus de vengeance») appelle à la libération des personnes condamnées pour atteintes aux droits de l’homme commises lors des années de dictature, de 1976 à 1983.
Big Browser
[ Cliquez sur l'image pour l'agrandir ]
« La cause des droits de l’homme ne peut se
défendre avec des mensonges. Elle ne peut pas se défendre non plus avec de nouvelles violations des droits de l’homme, comme celles que l’on voit aujourd’hui dans notre pays », peut-on lire dans cet éditorial. Avec la victoire de Mauricio Macri, argue La Nacion, « l’heure est venue de remettre les choses à leur place ».