dimanche, juillet 12, 2009

LE GOÛT DES CAUSES PERDUES

LA COULEUR DE LA PEAU, DE RAMÓN DÍAZ-ETEROVIC,
TRADUIT DE L’ESPAGNOL (CHILI) PAR BERTILLE HAUSBERG,
MÉTAILIÉ, PARIS, 229 PAGES, 18 EUROS.


Qu’est-ce qui compte dans la vie du détective privé Herrera, ce Chilien au seuil de la cinquantaine, usé et fatigué, enraciné à Santiago dans un quartier populaire non loin des rives du fleuve Mapocho ?