LA COULEUR DE LA PEAU, DE RAMÓN DÍAZ-ETEROVIC, TRADUIT DE L’ESPAGNOL (CHILI) PAR BERTILLE HAUSBERG, MÉTAILIÉ, PARIS, 229 PAGES, 18 EUROS. |
Qu’est-ce qui compte dans la vie du détective privé Herrera, ce Chilien au seuil de la cinquantaine, usé et fatigué, enraciné à Santiago dans un quartier populaire non loin des rives du fleuve Mapocho ?