Des centaines d'anciens conscrits chiliens se retrouvaient dimanche devant le palais présidentiel de La Moneda, à Santiago, pour faire une proposition au pays: confesser, révéler, raconter ce qu'ils ont vu, ou été contraints de faire, pendant les premières années, les plus noires, de la dictature militaire (1973-90), mais uniquement en échange d'une meilleure protection judiciaire.
Lire la suite...
Lire la suite...