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LA COUVERTURE DE L'HEBDO HAMBOURGEOIS "DIE ZEIT" DU 18 AOÜT 2011 |
Les nouvelles des massives mobilisations des étudiants Chiliens, qui battent le pavé depuis déjà trois mois exigeant l’arrêt de la marchandisation de l’éducation publique, font le tour de la planète. C’est ainsi que l’influent hebdomadaire Die Zeit, a fait sa une du 18 août avec l'image de Camila Vallejo, jeune leader de la Confédération des étudiants au Chili.
Le média allemand de centre-droit fondé à Hambourg en 1946, avec une circulation internationale, signale que la jeune étudiante se trouve à la tête de la plus grande révolte des jeunes depuis Mai de 1968.
Rappelons que « Mai 68 » a été la grande révolte déclenchée à Paris par les étudiants, suivis par les ouvriers et une frange de la société française, contre le gaullisme patriarcal et vieillissant qui gérait la France de l'après guerre.
Malgré le désenchantement provoqué par une rapide récupération et reprise en main du mouvement par l’establishment, la révolte a débouché sur des grandes réformes politiques et sociétales, et elle reste une référence majeure de la culture de gauche.
Le journal conclut en se demandant sur la durée possible du mouvement chilien, et s’interroge sur combien de temps encore vont supporter les jeunes un train de mobilisations presque ininterrompues depuis trois mois.
Le média allemand de centre-droit fondé à Hambourg en 1946, avec une circulation internationale, signale que la jeune étudiante se trouve à la tête de la plus grande révolte des jeunes depuis Mai de 1968.
Rappelons que « Mai 68 » a été la grande révolte déclenchée à Paris par les étudiants, suivis par les ouvriers et une frange de la société française, contre le gaullisme patriarcal et vieillissant qui gérait la France de l'après guerre.
Malgré le désenchantement provoqué par une rapide récupération et reprise en main du mouvement par l’establishment, la révolte a débouché sur des grandes réformes politiques et sociétales, et elle reste une référence majeure de la culture de gauche.
Le journal conclut en se demandant sur la durée possible du mouvement chilien, et s’interroge sur combien de temps encore vont supporter les jeunes un train de mobilisations presque ininterrompues depuis trois mois.