samedi, avril 23, 2016

LE TEMPS DES COUPS D’ÉTAT RAMPANTS


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DEVANT LES NATIONS UNIES, LA PRÉSIDENTE BRÉSILIENNE N’A PAS UTILISÉ LE MOT « COUP D’ÉTAT » MAIS S’EST DITE CONVAINCUE QUE LE PEUPLE SERAIT « CAPABLE D’EMPÊCHER UN RETOUR EN ARRIÈRE».
PHOTO  TIMOTHY A. CLARY

Le cas Dilma. Finalement, aujourd’hui, quand on veut faire un coup d’État, on n’a plus besoin du folklore sanglant de jadis : des chars dans les rues, des paras surarmés aux carrefours, des étudiants parqués dans les stades, des ministres arrêtés au petit matin et deux ou trois brutasses galonnées, si possible en lunettes noires, pour parler sur une unique chaîne de télévision et que les stations de radio diffusent de la musique classique.
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Ca, c’était dans le monde d’avant, l’archétype du coup d’État ayant eu lieu un 11 septembre 1973, au Chili.




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«LUÍS INÁCIO (300 PICARETAS)» INTERPRÉTÉE PAR LES «OS PARALAMAS DO SUCESSO». CHANSON ÉCRITE ET COMPOSÉ PAR HERBERT VIANNA, AVEC LA PARTICIPATION SPÉCIALE DE JAIRO CLIFF, DE LA BANDE DE REGGAE LORD MARACANÃ.
LICENCE YOUTUBE STANDARD  
DURÉE : 00:03:18 

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 LE 19 AVRIL 2016. À BRASILIA, MANIFESTATION EN FAVEUR DE LA 

PRÉSIDENTE DILMA ROUSSEFF. LA VEILLE, LE PROCESSUS DE 
DESTITUTION A ÉTÉ APPROUVÉ PAR LE PARLEMENT.  
PHOTO MARCELINO UESLEI  


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