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DANS LA MINE DE LITHIUM SQM DU DÉSERT D’ATACAMA, EN MAI 2018. PHOTO CATHERINE HYLAND |
Le désert de sel d’Atacama est confronté à la flambée de la demande du métal essentiel à la fabrication des batteries à travers le monde. La surproduction met à mal la biodiversité de la région.
Pour se rendre dans le salar d’Atacama, le désert de sel chilien, on atterrit dans le nord du Chili, à 15 kilomètres de la plus grande mine de cuivre à ciel ouvert du monde. Sur la route, à mesure que l’on s’approche des volcans enneigés de la cordillère des Andes qui marquent la frontière avec l’Argentine et la Bolivie, l’étendue désertique passe progressivement du gris-ocre à des tons rouges et orangés, et prend des airs de planète Mars. À plus de 2 000 mètres d’altitude, nous voici dans le désert le plus sec du monde. Un lieu stratégique pour l’économie chilienne, et pas seulement parce que des dizaines de milliers de touristes viennent admirer chaque année ses paysages spectaculaires.
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