vendredi, juillet 19, 2019

VIOLETA PARRA, L’ÂME INTRANSIGEANTE DU CHILI DES PAUVRES

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ILLUSTRATION FANNY MICHAËLIS
La chanteuse et folkloriste chilienne engagée a vécu quelques années à Genève, rue Voltaire. Son «Gracias a la vida» est devenu un classique
Catherine Frammery
ILLUSTRATION FANNY MICHAËLIS 
«Ça doit sortir.» Les doigts bondissent sur la toile de jute, piquant la laine d’un geste urgent, sans que jamais la brodeuse étire son ouvrage pour voir où elle en est. Tête penchée, sans hésitation, point après point. «C’est un épisode de l’histoire du Chili, tout le tableau est dans ma tête. Ça doit sortir.» Dans un des très rares films qui lui sont consacrés, l’artiste montre aussi ses peintures à la journaliste de la RTS, médusée. Elle chante. Et elle danse.


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« GRACIAS A LA VIDA » 
FUT ENREGISTRÉE POUR LA 1ÈRE FOIS EN 1966 
SUR L'ALBUM LAS ÚLTIMAS COMPOSICIONES, LE DERNIER ALBUM 
PUBLIÉ PAR VIOLETA PARRA AVANT SON SUICIDE EN 1967 
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