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PYRAMIDE DISTRIBUTION
Une image du film documentaire chilien de Patricio Guzman, "Nostalgie de la lumière", présenté hors compétition au 63e Festival de Cannes.
CANNES — "La mémoire a sa propre force de gravité. Les Etats qui enfouissent leurs crimes passés sont à la traîne", affirme le Chilien Patricio Guzman, dont le film "Nostalgie de la lumière" dévoilé au Festival de Cannes, évoque les séquelles de la dictature par le biais de l'astronomie.