Au Chili dans le camp Esperanza, difficile de rater Rolly. Nez rouge, large pantalon et grosses chaussures, il est venu de loin pour redonner le moral aux enfants.
L’arme de Rolly contre les larmes est une pompe qu’il a glissée sous un bras. De son sac, il sort un bout de plastique bleu, rouge ou jaune, et gonfle la baudruche en deux ou trois coups de piston. Puis il fait quelques nœuds, et le voilà qui soulève une fausse altère bleue, en soufflant et en tirant la langue. Un coup devant sa tête, un coup derrière.
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L’arme de Rolly contre les larmes est une pompe qu’il a glissée sous un bras. De son sac, il sort un bout de plastique bleu, rouge ou jaune, et gonfle la baudruche en deux ou trois coups de piston. Puis il fait quelques nœuds, et le voilà qui soulève une fausse altère bleue, en soufflant et en tirant la langue. Un coup devant sa tête, un coup derrière.
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