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| « LES CHILIENNES DEVRONT ENCORE ATTENDRE » |
Mercredi 3 août 2017, le parlement chilien a approuvé un projet de loi visant à dépénaliser l’avortement en cas de viol, de danger pour la mère ou de non viabilité du fœtus. Cette nouvelle version a été établie par une commission mixte (cf. Chili : le processus de dépénalisation de l'avortement retardé) et a été validée par la Chambre des Députés puis le Sénat.
LA DROITE A SAISI LE TRIBUNAL CONSTITUTIONNEL, JUGEANT LA LÉGALISATION PARTIELLE DE L’AVORTEMENT CONTRAIRE AU « DROIT À LA VIE ». CELUI-CI DOIT SE PRONONCER SUR LA RECEVABILITÉ DU RECOURS CE 8 AOÛT 2017.
Le texte doit encore être soumis au Tribunal constitutionnel sur la demande des parlementaires de l’opposition conservatrice qui considèrent « que le texte porte atteinte au principe du droit à la vie qui figure dans la Constitution ».
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