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Ils s’appellent Mekloufi, Sócrates, Pasic, Caszely ou encore Drogba et ils ont su dire NON! Dans un film manifeste, l’irréductible Éric Cantona réveille les consciences et montre le parcours de joueurs qui se sont opposés au pouvoir ou qui ont pris part à une lutte, et sont devenus ─au-delà de leurs performances sportives─ des figures de proue de la résistance ou de la rébellion.
Ce sont les histoires de cinq footballeurs : l’ivoirien Didier Drogba, l’algérien Rachid Mekhloufi, le yougoslave Predrag Pasic, le brésilien Sócrates et le chilien Carlos Caszely.
Seuls les aficionados doivent se rappeler de l’attaquant chilien Carlos Caszely, qui effectua un passage méconnu en Espagne de 1973 à 1978. Il est pourtant considéré comme un des meilleurs joueurs de son pays et sa proximité avec la gauche chilienne, longtemps interdite, lui valut l'affection du peuple souffrant de la tyrannie militaire. Il est, surtout, le seul sportif d’envergure à avoir défié ouvertement la dictature d’Augusto Pinochet.
Seuls les aficionados doivent se rappeler de l’attaquant chilien Carlos Caszely, qui effectua un passage méconnu en Espagne de 1973 à 1978. Il est pourtant considéré comme un des meilleurs joueurs de son pays et sa proximité avec la gauche chilienne, longtemps interdite, lui valut l'affection du peuple souffrant de la tyrannie militaire. Il est, surtout, le seul sportif d’envergure à avoir défié ouvertement la dictature d’Augusto Pinochet.
« CETTE BELLE DAME, C’EST MA MAMAN »
« ILS M’ONT FAIT PAYER AVEC CE QUI M’ÉTAIT LE PLUS CHER : EN TORTURANT MA MÈRE. TOUT ÇA PARCE QUE J’AI DIT NON À LA DICTATURE. » CARLOS CASZELY FUT, EN 1973, L’UN DES RARES À S’OPPOSER OUVERTEMENT À PINOCHET.