mardi, août 30, 2016

JOURNÉE INTERNATIONALE DES VICTIMES DE DISPARITION FORCÉE

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ASSOCIATION DES FAMILLES DE DÉTENUS DISPARUS (AFDD), 
LORS D'UNE MANIFESTATION À SANTIAGO
PHOTO KENA LORENZINI 

À l’ occasion de la Journée internationale des disparus, lumière sur ces États qui n’hésitent pas à faire disparaître leurs propres citoyens pour museler l’opposition et asseoir leur pouvoir. 

À travers le monde, des gouvernements recourent régulièrement aux disparitions forcées. Le terme juridique - «disparition forcée» - est peut-être un peu ambigu, mais l'histoire humaine qu'il raconte est simple à comprendre : certaines personnes disparaissent littéralement, de la société et de la vie de leurs proches, lorsque des représentants de l'État (ou des personnes agissant avec le consentement de l'État) les saisissent dans la rue ou à leur domicile, puis nient ou refusent de dire où elles se trouvent. Il s'agit d'un crime de droit international.
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